Cuisine et gourmandises de France et d’ailleurs
Pour Yotam Ottolenghi, au four, la cuisson du riz est inratable.
Cette recette du magazine “Saveurs, spécial fêtes 2020”, était destinée à du maigre, peu fréquent à Paris, malgré la pleine saison.
Autrefois, on faisait de la raie au beurre noir, vraiment noir, avec le persil bien grillé dedans.
Le thon, souvent sous influence japonaise, s'accommode très bien des assaisonnements asiatiques à base de citronnelle, de gingembre et de citron vert.
Ce plat, prétendument de Yotam Ottolenghi et de pure fiction, était cité dans le film “Bridget Jones Baby” par le personnage Patrick Dempsey.
La recette de Yotam Ottlenghi (“Simple”, chez Hachette Pratique) propose du flétan.
J'avais de l'orge perlé, envie de poireaux et de poisson.
Avec son vin rouge et ses épices de Noël, cette recette fait penser à du poisson qui serait cuit dans du vin chaud.
Cette recette m'a été inspirée par mes envies d'abord et un panachage entre un carpaccio de maigre de Pierre Gagnaire et la recette de ma marchande de poissons qui m'a conseillé un carpaccio de lotte à la manière de Christopher Coutanceau.
Une nouvelle jolie recette d'Yves Camdeborde qui plaira à tous.
La lotte fait vraiment partie des poissons les meilleurs et il arrive que le poissonnier propose des arrivages tout à fait tentants.
La sauce YuXiang (prononcez “ïou chang”, je crois) mélange les saveurs vinaigrées, sucrées et épicées.
Je crois bien qu'on changer de recette de pommes de terre tous les jours, c'est fantastique ! Yotam Ottolenghi (dans “Simple”) est aussi inspiré par ce tubercule qu'il l'est avec les courgettes ou les aubergines.
Les courgettes, ici, sont utilisées selon la même technique que celle du baba ganoush (autrement dit du moutabal ou caviar d'aubergines).
Quand vous faites lever, par votre poissonnier, des filets ou des pavés d’un beau poisson, il arrive qu’il y trouve des poches d’œufs.