"Légumivore et compostophile" :) je vous propose une cuisine gourmande, saine, de saison, souvent végétarienne. J'utilise des produits issus de l'agriculture biologique et/ou locale.
Vous manquez de fer, non ? Voilà de quoi remédier :) Jusqu’ici je faisais cuire des pommes de terre à l’eau, revenir quelques quartiers de pommes-fruits et cuire mon boudin avant de réunir tout le monde dans mon assiette et de déguster.
Après une semaine (voire plus) de fromages, charcuteries, burgers et pâtisseries, il est temps de se reprendre en main.
La dernière fois que nous avons mangé à l’Auberge du cheval blanc, délicieux restaurant dont je vous parlerai bientôt, il y avait en amuse-bouche une crème de maïs avec une huître qui nous a épatés.
Tiens, ça fait longtemps que je n'ai pas publié une recette de poisson.
Quand je l’ai aperçu sur l’étal d’Emilie, je n’ai pas pu résister bien que je ne sache pas grand-chose de ce poisson d’eau douce, si ce n’est qu’on en trouve notamment dans le lac d’Annecy.
L’inspiration lointaine de ce plat se trouve à la cantine dégueu de mon enfance.
J’avais récemment une furieuse envie de burgers mais pas trop de courage pour faire des buns.
On était fiers de ramasser les premiers radis du jardin mais on a moins fait les malins quand il a fallu les manger : ils sont beaux, certes, mais ils piquent un peu (beaucoup !) J’ai donc décidé de les mater en leur faisant faire trempette dans du yaourt.
Le goûteur n’est pas difficile, il accepte les expérimentations en tout genre comme le flan de chou fleur qui vire au bleu ou la tarte au chou rouge en dessert mais il n’est pas fan de brocoli alors je fais quelques menus efforts pour les cacher un peu.
Depuis que le persil est de retour sur l’étal d’Arnaud, j’en achète toutes les semaines.
J’ai récupéré internet, cela semble être définitif mais les objets m’en veulent en ce moment et aujourd’hui, c’est mon ordinateur fixe qui semble m’avoir lâché… celui-là même qui contient toutes les archives du blog et toutes les recettes et les photos.
Allez, encore une recette issue du livre de Marie Chioca, ma nouvelle bible gourmande, le dénommé les secrets de la pâtisserie bio aux éditions Terre Vivante.
La courgette verte peut s'avérer être pour le potager une espèce envahissante et un peu fourbe: elle se cache pendant plusieurs jours sous les feuillages et un jour, elle apparait sous nos yeux, obèse.
Comme me le font remarquer de temps en temps des amis, il y a peu de recettes de viandes sur le blog, au grand désespoir de certains potes "viandards" condamnés aux légumes et au tofu à cause de leur épouse dévouée.
Bonjour à tous ! Aujourd’hui, je vous propose une recette de Clea (ça faisait longtemps, non?!), issue de recevoir en bio, aux éditions LaPlage.
En flânant sur les marchés corréziens, on est sûr de croiser, à un moment ou à un autre, du canard ou de l’oie, soustoutes ses formes.