Cuisine et gourmandises de France et d’ailleurs
Merci à mon amie Marianne pour sa recette, particulièrement facile (je l'ai encore simplifiée), et c'est souvent ce qu'il y a de meilleur comme ici.
Rien ne vaut une bonne tartine de rillettes sur une tranche de pain de campagne en buvant un verre de vin rouge entre amis.
Lors de mon dernier réveillon, j'ai bien aimé les min-canelés au foie gras du restaurant Le Mail, à La Rochelle.
Encore des épices de Noël dans un plat principal, c'est toujours un peu surprenant, mais ça marche du tonnerre ! La viande est fondante, parfumée à point sans que l'on distingue une épice plus qu'une autre, sous une couche de purée de pommes de terre.
Après les huîtres chaudes, voici les huîtres en gelée, très très librement inspirées de celles tant appréciées dans un bar à huîtres, aujourd'hui disparu, de Guy Savoy.
J'avais de l'orge perlé, envie de poireaux et de poisson.
Voici de quoi servir de beaux amuse-bouche, voire un élément parmi un assortiment de mezzés.
Après avoir dégusté un remarquable cake de la boulangerie Ganachaud, je suis allée à la recherche d'une recette donnant un résultat approchant.
Véronique Niedergang, sur sa page Instagram Amoureusement soupe, a proposé cette recette spécialement dédiée aux amateurs de chou rouge, dont je suis, et aux candidats au régime soupe de janvier.
Rien de plus réconfortant que ce ragoût d'agneau, typiquement irlandais, accompagné de “dumplings” ! Ces boulettes, sortes de quenelles (qui peuvent rappeler les Knödel autrichiens) se marient à merveille avec la sauce.
Avec son vin rouge et ses épices de Noël, cette recette fait penser à du poisson qui serait cuit dans du vin chaud.
Les noix, un de mes péchés mignons… J'ai découvert cette merveille – merci Google – sur le blog Les Délices d'Hélène.
Les cocktails au champagne sont délicieux, mais un bon crémant rend d'excellents services pour les mélanges.
La vogue des huîtres chaudes est apparue dans les années quatre-vingt, puis s'est émoussée.
Voici une adaptation des délicieux sablés roulés dans le sucre cristallisé, relativement courants, parfumés au citron vert, d'une exquise finesse.
On pourrait la baptiser la “bûche pour les nuls”, un grand classique gourmand de mon enfance et de celle de beaucoup d'entre vous.
Entre meringues et macarons, ces biscuits italiens, de Prato en Toscane, ne sont pas bien jolis, d'où leur surnom de “brutti ma buoni” (ou “bruttiboni”) ou… “laids, mais bons”.
En voilà un plat de retour en enfance ! Je me suis aidée du gratin de macaronis du site de Mamina.