Comme c’est souvent le cas en cuisine il existe un vieux débat entre les appellations de vol-au-vent et bouchées à la reine.
La moussette ne se trouve qu’à la fin du printemps et au début de l’été, il s’agit d’un mâle araignée de mer juvénile.
Il n’est pas chose rare que de voir fleurir moult comparaisons entre fricassée de volaille aux écrevisses et célèbre poulet dit ‘à la Marengo‘.
Qu’elle soit rouennaise ou roannaise, la tourte de canard est un monument de la gastronomie française.
Si le rouget est parfois surnommé bécasse des mers c’est probablement parce que depuis le gastronome Apicius il est vivement recommandé de cuisiner son foie.
La bécasse est un oiseau noble et rare qui fut prisé de tous temps par les plus fins gourmets qu’ait compté l’occident.
On ne connait pas l’origine exacte de la chartreuse, néanmoins les timbales de gibiers au chou remontent généralement à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle quand Antonin Carême régnait en maître dans.
Les harestecks sont mentionnés par l’immense gastronome Lucien Tendret dans son ouvrage La table au pays de Brillat-Savarin.
Fernand Point fut au côté d’André Pic et d’Alexandre Dumaine l’un des grands apôtres de la cuisine française.
L’origine des quenelles de brochet se situe dans les étangs de la Dombes et dans la commune de Nantua dans le Haut-Bugey mais c’est aujourd’hui à la ville de Lyon qu’elles sont irrémédiablement associées.
Envelopper une farce à base de viande avec une feuille de vigne ou de chou serait une idée d’origine byzantine.
Le pain de brochet est un classique de la cuisine française, sa préparation a évoluée au fil du temps et s’est raffinée et affinée.
Avec la quasi-disparition du service en salle ou à table, certaines pièces comme la selle d’agneau ou de veau sont tombées en désuétude.
Chaque ville portuaire de méditerranée possède sa propre recette de poulpe.
La sauce poivrade est l’une des plus ancienne sauce connue du répertoire gastronomique occidental.
Tous les ans quand vient l’automne nous aimons préparer de délicieuses saucisses de sanglier parfumées de châtaignes, de myrte et de népita, une ode à la Corse en somme.
Difficile de connaître l’origine exacte de ce plat, si le nom du duc de Wellington lui est accolé, tout indique pourtant que son origine soit française.
Le salmis est une méthode de cuisson associée au petit gibier à plumes ou à poils.
Le pâté de bécassines d’Abbeville est l’une des béatitudes de l’existence.
La succulence sans pareille de la bécassine est appréciée des fins gourmets depuis l’Antiquité.