Plus que jamais, ces dernières semaines, je suis à la recherche de desserts au café.
Où on ouvre en douceur la saison des bûches avec une association classique, même si, ici, la menthe vient ajouter un "petit grain de folie" :-).
Pour clore cette année 2020 qui marquera certainement les esprits quelqu'en soit la raison, je vous propose une création d'un chef qui n'a pas encore eu sa place sur mon blog.
Et de trois dans l'"Epoque Michalak Paris 2016-2020", troisième tome des "20 ans de pâtisserie" (éd.
S'exclame une actrice bien connue dans une publicité du siècle dernier qui est entrée dans la mémoire collective, française du moins :-).
Où nous poursuivons dans le registre "classique avec une pointe d'originalité" avec, cette fois, une création extraite de Fou de Pâtisserie n°43 (nov/déc 2020) rubrique Masterclass qui retrace également le parcours d'un chef jusque là absent de mon blog.
J'avais clos l'année 2020 avec le talentueux chef qu'est Jean-Michel Perruchon et ses "Petits Entremets Chocolat Mûroise" (cf le 30/12/2020) où j'y raconte dans l'introduction son parcours.
Trois ans que je n'avais pas reproduit de créations de Luc Baudin.
Premier dessert réalisé depuis le début du confinement.
La rochelaise de coeur que je suis depuis le 12 avril 2001 (J'ai encore le billet 1 ière classe des TGV Strasbourg-Paris-La Rochelle d'un aller sans retour pour une nouvelle vie.
La première fois que j'ai dégusté un Moka, c'est lorsque j'ai réalisé le "Moka parfumé à la mandarine de Corse" de Christophe Michalak (cf le 5/3/2015).
Nouvelle escale et nouvelle découverte à l'occasion de l'opération "A Bâbord toute" (qui me parle forcément quand on vit au bord de l'océan) où la Grande Epicerie de Paris avec T.
Ce noël, j'ai réalisé deux bûches pour le 25 décembre midi .
Peut-être certains d'entre vous se souviennent-ils d'Aya, la finaliste (et ma favorite) de la saison 10 du "Meilleur Pâtissier".
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