Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
Je jardine comme je cuisine, photographie, cours… sans talent particulier mais avec une indéniable bonne volonté.
Faut-il que je sois d’un masochisme extrême, d’une cruauté infinie envers moi-même pour m’acharner à faire des pizzas pile le jour où je pourrais en avoir une très bonne à dix euros au camion ambulant ?? La faute à la mozzarella achetée en promo.
Pichade ? Quézaco ? C’est une variante mentonnaise de la pissaladière (sorte de pizza aux oignons et anchois), avec des tomates.
Que faire avec les feuilles de brick qu’on m’a refilé ? Et sans faire de courses supplémentaires ? Je me suis alors souvenue d’un bon petit plat mangé à Lyon : des samoussas.
En cette saison automnale, rien de tel pour bien préparer sa couche de graisse pour franchir l’hiver qu’un peu (juste un peu) de fromage.
Cette recette ne mérite sûrement pas le nom de « potée » puisque les légumes sont cuits, assez rapidement, dans une cocotte.
Je sais, j’ai déjà fait le coup de la courge associée au curry (voir « Risotto à la courge butternut et au curry »), et les variations entre ces deux là sont infinies.
« Bouchée à la reine ou vol au vent ? », telle était notre interrogation à table, le jour où nous avons mangé ce plat.
Ouah, le Père Noël il est trop balèze, il sait que j’ai fait Ma Grande Reconversion et que je galère à fond pour faire mes galettes.
Je garde un souvenir impérissable de la première fois où j’ai mangé des spaghettis aux boulettes.
Il y a quelques jours, on m’a offert un magnifique bouquet… de persil.
J’ai trouvé l’idée de ce plat dans le magazine « Slowly veggie » de janvier/février 2018.
Ce midi, Pascal était aux fourneaux pour nous cuisiner une de ses spécialités.
L’année dernière, pour son potager, Pascal louait un terrain dont la terre était argileuse, compacte et difficile à travailler.
Dans le livre « Les meilleures recettes végétariennes », j’avais repéré une salade chaude de lentilles et de riz.