Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
La recette provient du magazine « Slowly veggie » de novembre/décembre 2018.
Ici, on ressort les légumes qui ont gentiment patienté tout l’hiver sous les combles, dans le bureau de Pascal (on fait mieux comme déco, mais je commence à avoir l’habitude de fréquenter Michel le jardinier et pas Valérie Damidot, et je ne m’étonne.
J’ai trouvé la recette de ces chaussons sur « Mes inspirations culinaires ».
Les pousses d’épinards, c’est classe, comme les petits légumes primeurs, mais ça me fend le cœur de cueillir à la fleur de l’âge ces petits êtres en pleine croissance.
A la maison, il est rarissime que nous ayons du pain rassis, sans doute parce que la plupart du temps, il est fait maison par Pascal, et qu’il est meilleur et se conserve mieux que le pain industriel, du supermarché ou de nombreuses boulangeries (voir.
Cela fait quelques années déjà qu’il n’y a plus d’agneau pascal dans notre famille.
J’avais envie d’appeler ces croque-monsieur improvisés « retour du jardin ».
J’ai mélangé ici une recette de poêlée de poireaux au curry (testée et approuvée) et une autre recette que j’avais oubliée, mais qu’inconsciemment, je devais avoir gardée dans un coin de ma tête encombrée : « Poireaux à la sauce Béchamel au chèvre ».
Cette recette très facile vient encore du livre « Recettes végétariennes inratables ! » mais j’ai divisé les doses par deux.
Par ces froides soirées d’hiver de printemps tout pourri, rien de tel qu’une bonne soupe pour se donner du réconfort.
Cet article a failli ne jamais voir le jour (c’eût été une perte énoo oo OOO oo orme pour la Haute Gastronomie Française !).
Je continue d’explorer la cuisine orientale au gré du hasard… J’ai trouvé l’idée de cette recette dans un bloc « Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? En 365 recette végétariennes », édité par Marmiton.
A la base, je voulais faire des bouchées, mais comme l’exercice requiert une certaine minutie, j’ai transformé la recette en verrines (qui ne sont plus à la mode, mais si je devais m’arrêter à ce genre de détail, je n’aurais carrément plus ma place dans.
Dans la série « le potager en décalé » : après les épinards récoltés en deuxième année de croissance (paix à leur âme), après le fenouil au bulbe avorté (RIP petites feuilles plumées), voici comment le pied de blette a rendu son dernier soupir après.
Il y avait un pauv’ brocoli faisant un peu la gueule dans le bac des légumes moches de mon épicerie bio préférée.
Une recette un peu improvisée, avec quelques accents orientaux et rapide à faire.