Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
Je n’ai pas pris trop de risque en associant le cumin dans la soupe et le curcuma dans la crème au fromage de chèvre, ces deux épices sont souvent utilisées ensembles.
J’ai trouvé cette recette sur de nombreux sites (Marmiton, cuisineAZ…), je n’ai enlevé que le jambon.
Encore une recette issue du bouquin « Recettes végétariennes inratables ! ».
Cette recette de soupe bien nourrissante et pleine de goût vient du petit livre « 100 plats végétariens en 5 ingrédients ».
Un risotto bien basique avec une poêlée de champignons toute simple font un bon plat savoureux.
La recette initiale était un gratin de topinambours… cela faisait peut-être un peu trop pour nos petits estomacs fragiles.
Non, pas taper, pas crier, pas s’offusquer ! ! Je sais que les tomates en hiver, c’est pas bien, mais pas bien du tout, mais ici, il s’agit de conserves faites cet été.
Je cherchais une façon originale de cuisiner les endives braisées et je suis tombée sur cette recette « Endives braisées au miel et à l’orange » sur le site « Femme actuelle ».
Les bananes ne font plus vraiment partie de mon régime (ah ah ! Bananes régime… humour !) alimentaire, mais il y en avait quelques-unes en promo dans le bac des fruits et légumes moches alors j’ai craqué, malgré leur lointaine origine.
La recette originale (née… à Vichy, au XVIè ou XVIIè siècle) se fait avec de l’eau gazeuse.
V’là l’printemps, et je salive déjà en me baladant dans le jardin : ici, des orties qui feront un bon petit pesto aux noix, là, des violettes ou des pâquerettes qui agrémenteront une salade… mais ce qui me fait le plus baver, ce sont les feuilles d’ail.
Il me restait deux malheureux navets, une variété (laquelle ? mystère…) qui n’a pas un goût très prononcé.
La recette provient du magazine « Slowly veggie » de novembre/décembre 2018.
J’ai trouvé la recette de ces chaussons sur « Mes inspirations culinaires ».
Ici, on ressort les légumes qui ont gentiment patienté tout l’hiver sous les combles, dans le bureau de Pascal (on fait mieux comme déco, mais je commence à avoir l’habitude de fréquenter Michel le jardinier et pas Valérie Damidot, et je ne m’étonne.
Les pousses d’épinards, c’est classe, comme les petits légumes primeurs, mais ça me fend le cœur de cueillir à la fleur de l’âge ces petits êtres en pleine croissance.
A la maison, il est rarissime que nous ayons du pain rassis, sans doute parce que la plupart du temps, il est fait maison par Pascal, et qu’il est meilleur et se conserve mieux que le pain industriel, du supermarché ou de nombreuses boulangeries (voir.