Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
J’avais repéré cette recette du coin de l’œil, mais je ne savais plus où la retrouver… j’ai donc un peu improvisé.
« Du foin dans mon assiette » est mondialement connu, que dis-je ? universellement réputé pour sa fantaisie, son impertinence et ses pas de côté.
J’ai trouvé cette recette dans un bouquin qu’on m’a donné « Entrées gourmandes ».
Ce plat est une revisite de la « Tarte au confit d'oignons et au fromage de chèvre ».
Une recette faite en free-style : le goût était au rendez-vous (avec des croque version ail des ours ou version moutarde à l’ancienne), mais pas vraiment celui de la courge, en quantité trop faible peut-être.
Je n’ai pas pris trop de risque en associant le cumin dans la soupe et le curcuma dans la crème au fromage de chèvre, ces deux épices sont souvent utilisées ensembles.
J’ai trouvé cette recette sur de nombreux sites (Marmiton, cuisineAZ…), je n’ai enlevé que le jambon.
Encore une recette issue du bouquin « Recettes végétariennes inratables ! ».
Cette recette de soupe bien nourrissante et pleine de goût vient du petit livre « 100 plats végétariens en 5 ingrédients ».
Un risotto bien basique avec une poêlée de champignons toute simple font un bon plat savoureux.
La recette initiale était un gratin de topinambours… cela faisait peut-être un peu trop pour nos petits estomacs fragiles.
Non, pas taper, pas crier, pas s’offusquer ! ! Je sais que les tomates en hiver, c’est pas bien, mais pas bien du tout, mais ici, il s’agit de conserves faites cet été.
Les bananes ne font plus vraiment partie de mon régime (ah ah ! Bananes régime… humour !) alimentaire, mais il y en avait quelques-unes en promo dans le bac des fruits et légumes moches alors j’ai craqué, malgré leur lointaine origine.
Je cherchais une façon originale de cuisiner les endives braisées et je suis tombée sur cette recette « Endives braisées au miel et à l’orange » sur le site « Femme actuelle ».
La recette originale (née… à Vichy, au XVIè ou XVIIè siècle) se fait avec de l’eau gazeuse.
V’là l’printemps, et je salive déjà en me baladant dans le jardin : ici, des orties qui feront un bon petit pesto aux noix, là, des violettes ou des pâquerettes qui agrémenteront une salade… mais ce qui me fait le plus baver, ce sont les feuilles d’ail.
Il me restait deux malheureux navets, une variété (laquelle ? mystère…) qui n’a pas un goût très prononcé.