Le 25 avril commémore partout en Italie la libération du pays de l’armée Nazie-Fasciste, cependant, à Venise cette date à une importance bien plus ancienne.
Si à l’origine le mot barigoule désigne en provençal un plat de champignons il est aujourd’hui invariablement associé aux artichauts.
La cuisine juive de Fès et du nord-est du Maroc en général tire ses racines des cultures arabes et berbères tout comme de celles d’Espagne, du Portugal ou de France.
Les langoustines sont excellentes en été, elles se marient aussi très bien avec les amandes et les premières petites girolles.
Les pressés ou marbrés sont une bonne alternative aux terrines, la dégustation est différente car on y emploie généralement de plus gros morceaux.
Soisy-sous-Montmorency et Saint-Prix au nord de Paris sont deux villages célèbres pour leurs cerises ou griottes à courtes queues depuis le XVIe siècle.
Comme c’est souvent le cas en cuisine il existe un vieux débat entre les appellations de vol-au-vent et bouchées à la reine.
Chaque ville portuaire de méditerranée possède sa propre recette de poulpe.
Le thon de lapin est une recette originaire de la région des Langhe dans le Piémont.
Les ravioli del plin sont des pâtes farcies typiques du Piémont en Italie.
La légende de la poule au pot et de son bon roi n’est plus à faire.
La succulence sans pareille de la bécassine est appréciée des fins gourmets depuis l’Antiquité.
Le pigeonneau de Mesquer est d’une qualité incroyable, il se prête aussi bien au rôtissage, qu’aux préparations en salmis ou aux terrines.
La blanquette est un mets incontournable de la gastronomie française dont l’origine est incertaine.
Les ravioli alla cernia ou di cernia, di magro ou encore di mare sont une spécialité ligure.
La côte de veau Pojarski nous vient de la cuisine impériale Russe du XIXe siècle, elle s’est depuis largement diffusée dans la cuisine française avant de tomber en désuétude.