Cuisine et gourmandises de France et d’ailleurs
Pour accompagner et ensoleiller, en deux coups de cuiller à pot, poisson ou viande grillée, brochettes, etc.
Si j'en crois Laura Zavan, ces petites timbales d'aubergines viennent de Sardaigne.
Les macaronis (ou maccheroni en italien) longs sont un peu difficiles à manger sans faire gicler la sauce partout.
Une recette de mère lyonnaise… pour allier poireaux et saint-félicien, un fromage du Dauphiné au lait de chèvre à l’origine, mais désormais au lait de vache, à pâte molle et croûte fleurie.
Un dessert en verrine qui consiste à empiler des couches, c’est bien simple.
Après de multiples essais, c’est la tarte au chocolat de mon pâtissier-chocolatier préféré, Démoulin, à Paris, et dont j’ai essayé de percer le secret.
Une nouvelle et bien jolie présentation de la tarte à la rhubarbe grâce à Dorian, du blog Dorian cuisine.
Pour changer des fraises ou de la rhubarbe, je propose de réhabiliter les groseilles qui sont plus goûteuses cuites en compote que crues.
Une soupe un peu épaisse, vite faite à partir de tomates en conserve et de pain rassis, sans matériel.
Le spetzofaï est une spécialité culinaire grecque, du Pélion, région entre mer et montagne, au sud-est de la Thessalie.
Cette soupe de concombre cuit n’a rien à voir avec les soupes à base de concombre cru.
Vous le savez sûrement, maintenant : pas de crème dans les pâtes alla carbonara ! Que des œufs (ou seulement les jaunes ou moitié-moitié), des lardons de guanciale (de la joue de porc salée), du pecorino (romano) et du poivre.
J'ai trouvé l’inspiration dans un magnifique magazine autrichien de cuisine, consacré aux recettes d'auberges des Alpes autrichiennes et bavaroises, "Servus" (traduction : salut !), un semestriel.
Une jolie soupe d’hiver, pleine de protéines végétales et de bons parfums, qui peut même faire office de plat principal pour le soir.
Le tarator ( en bulgare) est une soupe froide bulgare traditionnelle, à base de yaourt (bulgare, comme chacun sait) et de concombre, proche du tzatziki, mais pas tout à fait.
C’est à Marianne, restauratrice italienne, que je dois cette façon de faire la soupe de courgettes.