Conseillère en loisirs culinaires
Lorsque j’étais à Montréal, j’ai eu la chance de pouvoir suivre des ateliers culinaires notamment en boulangerie et pâtisserie.
Pour ma première recette en ligne je veux vous proposer des filets de pangasius farcis accompagnés d’un flan de fenouil.
Toujours tirée du livre de Cléa ce dessert d’une douceur qui nous transporte au pays des milles et une nuit… Ingrédients : Pour 4 personnes 80g de purée d’amandes 5 càs de sirop d’agave 200 ml de lait de riz (ou soja) 2 g d’agar-agar 1 càs et demie de.
Je me suis inspirée d’une recette d’Eryn et sa folle cuisine pour réaliser ces petits palets bretons en apportant quelques modifications.
Je me suis inspirée d’une recette Demarle, j’ai remplacé le persil par l’origan car j’adore cette plante aromatique.
La côte de bette est un légume tendre au goût prononcé que l’on trouve du printemps à l’automne.
Un temps un peu frisquet sur les contreforts de la Chartreuse, la neige n’est pas loin, rien de tel qu’un bon thé pour réchauffer l’intérieur accompagné d’un bon gâteau moelleux et pourquoi pas un marbré au chocolat.
En cette saison des pommes, cette pintade fait un très bel effet entourée de ces pommes rissolées Ingrédients : Pour 4 personnes 1 pintade ou 4 cuisses 6 pommes jus d’½ citron 5 càs de beurre ½ verre de calvados 6 pommes reinettes 3 càs de crème fraîche.
J’ai trouvé que la couleur violette de ce parmentier à la vitelotte, une pomme de terre violette que je découvre, pouvait faire une entrée sympathique en cette période d’automne, de plus le violet est la couleur de la spiritualité.
Avec ce temps, ce brouillard qui ne se lève pas, rien de tel qu’un bon plat qui fleure bon les recettes d’antan.
Pour cette recette, je me suis inspirée du blog « Autour d’un plat ».
Des petites bouchées gourmandes et parfumées pour le thé, avec un mariage entre l’orange et l’amande d’une grande subtilité.
Voici une recette qui ravive les papilles avec ces mariages de goût tout en douceur et en légèreté.
Pour cette recette je me suis inspirée d’un site que j’affectionne particulièrement, le sot l’y laisse.