Si le canard à l’orange est un classique de la cuisine bourgeoise française, il est aujourd’hui tombé en désuétude.
Couniéù signifie lapin en niçois et de l’Arrière-Pays au Col de Tende, son élevage simple et peu coûteux forgea le goût de nombreuses générations.
En Italie la porchetta, comme son nom l’indique se prépare avec du cochon de lait mais, dans la Vallée des Merveilles, sous le col de Tende, c’est à dire dans l’arrière-pays niçois, on la prépare avec du lapin,.
Nous devons le célèbre Oreiller de la Belle Aurore à l’illustre Brillat-Savarin.
Le lièvre à la royale est souvent décrit comme un monument de la gastronomie française.
Aujourd’hui les timbales de macaroni ont disparues des grandes tables des notables de France et d’Italie, pourtant cette recette aux origines complexes était extrêmement populaire jusqu’au milieu du XXe siècle.
Les pressés ou marbrés sont une bonne alternative aux terrines, la dégustation est différente car on y emploie généralement de plus gros morceaux.
Si confondre le rouget grondin avec le rouget barbet est un péché, confondre le rouget de l’Atlantique avec le rouget de roche de la Méditerranée, est un crime de lèse majesté.
Nous devons les petits pois au sieur Audiger qui les rapporta de Gênes.
Comme c’est souvent le cas en cuisine il existe un vieux débat entre les appellations de vol-au-vent et bouchées à la reine.
Si le rouget est parfois surnommé bécasse des mers c’est probablement parce que depuis le gastronome Apicius il est vivement recommandé de cuisiner son foie.
Qu’elle soit rouennaise ou roannaise, la tourte de canard est un monument de la gastronomie française.
La bécasse est un oiseau noble et rare qui fut prisé de tous temps par les plus fins gourmets qu’ait compté l’occident.
On ne connait pas l’origine exacte de la chartreuse, néanmoins les timbales de gibiers au chou remontent généralement à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle quand Antonin Carême régnait en maître dans.
Les harestecks sont mentionnés par l’immense gastronome Lucien Tendret dans son ouvrage La table au pays de Brillat-Savarin.
La légende de la poule au pot et de son bon roi n’est plus à faire.
Le pâté de bécassines d’Abbeville est l’une des béatitudes de l’existence.
La succulence sans pareille de la bécassine est appréciée des fins gourmets depuis l’Antiquité.
Lucien Tendret éminent gastronome du Bugey de la fin du XIXe siècle nous a gratifié d’un ouvrage d’une irrépressible gourmandise « La table au pays de Brillat-Savarin« .
Le pigeonneau de Mesquer est d’une qualité incroyable, il se prête aussi bien au rôtissage, qu’aux préparations en salmis ou aux terrines.