Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
Cette recette ne mérite sûrement pas le nom de « potée » puisque les légumes sont cuits, assez rapidement, dans une cocotte.
Je sais, j’ai déjà fait le coup de la courge associée au curry (voir « Risotto à la courge butternut et au curry »), et les variations entre ces deux là sont infinies.
Chaque année, pour le réveillon de Noël, nous faisons nos achats aux halles d’Amiens.
Ouah, le Père Noël il est trop balèze, il sait que j’ai fait Ma Grande Reconversion et que je galère à fond pour faire mes galettes.
Je garde un souvenir impérissable de la première fois où j’ai mangé des spaghettis aux boulettes.
Oca quoi ? Capucine tuberculeuse ?? Ces deux plantes d’origine sud-américaine sont cultivées pour leurs tubercules.
Ma môman a encore eu la bonne idée de me refiler des feuilles de brick.
J’ai trouvé l’idée de ce plat dans le magazine « Slowly veggie » de janvier/février 2018.
J’ai piqué une bonne partie de la recette dans le magazine « Best of gourmand, recettes sans viande », mais j’ai changé les proportions et ajouté quelques épices.
Ce midi, Pascal était aux fourneaux pour nous cuisiner une de ses spécialités.
L’année dernière, pour son potager, Pascal louait un terrain dont la terre était argileuse, compacte et difficile à travailler.
La littérature culinaire est très rigolote : quand on s’intéresse aux recettes printanières, on y trouve des petits pois, des artichauds, des asperges, des concombres, et même des poivrons, des tomates, des aubergines ou des courgettes.
En revenant des Vosges, dans une triste et moche aire d’autoroute (pléonasme…), nous avons déniché un petit bouquin « Retour à la terre ! Je redécouvre les légumes racines », avec plein de recettes à base de pommes de terre, carottes, panais, topinambours,.
Le mercredi matin, Pascal se met (quasiment) dans la peau d’une femme du XXIème siècle.
Cette salade me ramène directement en enfance, quand notre copine « Tata Cloclo » nous en préparait les soirs d’hiver.
Je n’étais pas trop sûre de l’accord de goût entre les tomates séchées, les figues et la féta.
J’avais déjà vu par ci par là des recettes de frittatas… bof, une espèce d’omelette améliorée, pas de quoi saliver avec ce plat italien.
Par ces très beaux jours d’avril, faut pas être bien nette pour cuisiner les légumes de la saison dernière.
Encore du poireau, encore associé à de la moutarde à l’ancienne… Les deux forment un bon mélange dans la quiche.