Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
Voilà une bonne petite soupe qui réchauffe le cœur des noceurs… ou des sportifs : la semaine dernière, à l’arrivée d’un trail, nous pouvions en déguster une.
J’ai piqué une bonne partie de la recette dans le magazine « Best of gourmand, recettes sans viande », mais j’ai changé les proportions et ajouté quelques épices.
Je pense avoir découvert une vraie astuce pour ne pas chialer en épluchant les oignons : une fois de plus, je les ai pris dans la grange où il fait super froid en ce moment : ils ne dégagent alors plus leur gaz irritant.
Ce midi, Pascal était aux fourneaux pour nous cuisiner une de ses spécialités.
L’année dernière, pour son potager, Pascal louait un terrain dont la terre était argileuse, compacte et difficile à travailler.
Dans le livre « Les meilleures recettes végétariennes », j’avais repéré une salade chaude de lentilles et de riz.
En entrée ou en tartelettes pour l’apéro, l’oignon sucré et acide se marie vraiment bien avec le fromage de chèvre.
La littérature culinaire est très rigolote : quand on s’intéresse aux recettes printanières, on y trouve des petits pois, des artichauds, des asperges, des concombres, et même des poivrons, des tomates, des aubergines ou des courgettes.
En revenant des Vosges, dans une triste et moche aire d’autoroute (pléonasme…), nous avons déniché un petit bouquin « Retour à la terre ! Je redécouvre les légumes racines », avec plein de recettes à base de pommes de terre, carottes, panais, topinambours,.
Je trouve ridicule la partie « desserts » dans les livres de recettes végétariennes.
Qu’il est joli ce potiron Bleu de Hongrie, avec sa couleur oscillant entre le gris et le bleu, à l’image du ciel de ce matin de Pâques (« Clair comme un matin de Pâques » disait ma Grand-Tante… Tu paaaaarles !!).
Le mercredi matin, Pascal se met (quasiment) dans la peau d’une femme du XXIème siècle.
Cette recette provient encore du magazine « « Best of gourmand, recettes sans viande » et que l’on peut trouver en cliquant sur ce lien.
Cette salade me ramène directement en enfance, quand notre copine « Tata Cloclo » nous en préparait les soirs d’hiver.
Je n’étais pas trop sûre de l’accord de goût entre les tomates séchées, les figues et la féta.
J’avais déjà vu par ci par là des recettes de frittatas… bof, une espèce d’omelette améliorée, pas de quoi saliver avec ce plat italien.
Par ces très beaux jours d’avril, faut pas être bien nette pour cuisiner les légumes de la saison dernière.
J’ai ici poussé le « fait maison » à son paroxysme, m’y prenant la veille, passant des heures en cuisine, consultant pas moins de quatre bouquins… juste pour de la junk food améliorée ! Heureusement, nous nous sommes régalés et j’ai pu congeler des steaks.
Encore du poireau, encore associé à de la moutarde à l’ancienne… Les deux forment un bon mélange dans la quiche.