Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
Pour l’instant, les deux malheureuses petites courgettes ramenées du potager me font doucement rigoler : taille et quantité modeste, ah ah ah, quelle rigolade de les cuisiner.
Pascal ne boit plus de lait le matin, et il le remplace par du « lait » végétal qu’il fait lui-même avec l’extracteur de jus (voir la recette plus bas).
Le plus pénible dans cette recette, c’est d’écosser les petits pois.
Voilà, il pleut des courgettes à défaut de pleuvoir tout court.
Le blog va bientôt changer de nom et s’appeler « Ma vie de courgette »* avec une recette de courgette par jour… Ici, j’ai un peu adapté une recette du magazine « Best of gourmand » : c’est un plat un peu long à faire parce qu’il faut préparer la pâte.
Une grande partie de la recette vient du site « Mes inspirations culinaires ».
C’est une recette que j’ai trouvé dans le bouquin « Savoureuses recettes végétariennes » et que j’ai légèrement modifié en ajoutant de la moutarde et de la crème fraîche liquide à la place de l’eau.
De retour de vacances, nous avons découvert des courgettes qui, profitant insidieusement de notre absence, avaient triplé voire quadruplé de volume.
Petite salade rafraîchissante et relativement nourrissante grâce aux lentilles.
Une recette simple qui vient de mon bouquin fétiche du moment « Savoureuses recettes végétariennes ».
J’avais fait il y a quelques années une salade épicée aux courgettes : bof, mais je n’avais pas de petit piment comme indiqué dans la recette (je n’en ai toujours pas…).
Selon Wikipédia, la sauce bolognaise est composée de coulis tomate, carottes, céleri, oignon, vin (blanc ou rouge), lait et bœuf (voir ici une vraie recette, donc avec de la viande…).
Petits rappels pour les non-initiés* : Les végétariens ne mangent pas de chair animale, Les animaux sont des organismes multicellulaires se nourrissant de matière organique.
Quelle joie enfantine de déclamer « penne alla puttanesca » avec un accent italien tout pourri et avec le plaisir coupable de dire une espèce de gros mot sans que les parents puissent nous engueuler.
Avec les restes de purée de courgette obtenus grâce à la « Soupe crue à la courgette et au maïs », on peut faire ces galettes dont la recette est issue du bouquin « Recettes à l’extracteur de jus ».
Cette année, les pommes de terre ont souffert de la sécheresse et Pascal en a récolté pas mal qui avaient la taille d’une noix.
Voilà un plat parfait pour se requinquer… c’est plein de goût, mais c’’est aussi limite lourdingue.
J’aime beaucoup la cuisine méditerranéenne, de l’italienne à la libanaise en passant par la marocaine, en amatrice, pas du tout en spécialiste.
Pascal et moi avons un peu l’esprit « écolo » et faisons attention à ne pas empirer l’état de not’ pov’ planète.