Pour continuer le détournement des desserts en version salée (voir Choux salés au roquefort et à la poire, au chèvre affiné et aux figues fraîches), j’ai fait cette « mise en bouche » pour Noël.
J’ai fait cette recette un peu à l’invention pour le réveillon de Noël, même si j’ai vérifié auparavant sur le Net que le mélange céleri et châtaigne se faisait.
Après deux mois sans avoir rien publié, je sors le blog de son hibernation.
Commencer l’année par des boulettes, est-ce un symbole ? Est-ce une provocation ? Ou est-ce plus prosaïquement un hasard ? Dans tous les cas, elles étaient très bonnes et pas prise de tête à faire.
J’ai trouvé cette recette dans deux magazines différents ! Le Rustica du 5 au 11 février 2021 et Esprit d’ici de janvier/février 2021.
J’avais fait une première version de ce plat dont la recette provient du magazine « Saveurs Green » de janvier/février 2021 et je n’avais pas été convaincue : trop acide avec le jus de citron et pas assez cuit avec 20 min.
Cette recette vient du bloc « Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? En 365 recettes végétariennes », on peut la retrouver ici sur Marmiton.
Chaque année, pour Noël, la sœur de Pascal nous offre à chacun un mug avec un livre de recettes.
Cela fait un bout de temps que je vois traîner cette recette du chef d’origine israélienne Yotam Ottolenghi (dont j’avais fait une réinterprétation de sa recette de risotto à l'aubergine, au poivron et au citron).
Les courges butternut du potager n’ont pas le même goût que celle achetées : elles sont moins douces et plus marquées en goût.
C’est le genre de plat que j’aime beaucoup : sucré, salé et acide (avec même une très légère amertume apportée par les graines de sésame torréfiées, sinon, on peut apporter l’amertume avec une salade d’endive par exemple).
La recette de base vient du livre « Recettes végétariennes inratables ! ».
Cette recette est une adaptation de la traditionnelle « Pumpkin pie » ou tarte à la citrouille américaine.
La recette vient du livre « Recettes végétariennes inratables ! » à laquelle j’ai juste ajouté un peu de moutarde et d’estragon.
La recette de base vient du magazine « Gourmand sans viande », elle y est intitulée « Keftas à l’indonésienne ».
Une deuxième version de la recette de « ragoût de haricots blancs et de légumes », un peu moins onctueuse que la première (sans doute parce que j’ai cuit les haricots à part), mais riche en goût [suite à ce constat, j'ai ajouté un peu de fécule de maïs.
Voilà un croque qui claque bien en bouche ! On y trouve deux de mes mes péchés mignons : le pesto (que j’ai fait puis congelé en octobre dernier) et l’ail des ours, qui commence à bien coloniser le jardin malgré les razzias que je fais chaque printemps.
Pascal se démotive parfois quand il voit l’ampleur de boulot que donne son potager.