La crème brûlée, qui s'affiche depuis des lustres sur les cartes de dessert de pratiquement tous les restaurants traditionnels, rayonne à la manière d'une madeleine Proust.
C'est au Moyen-Âge que l'on commence à utiliser la violette en cuisine.
Dans cet ouvrage on trouve du thé, des madeleines, du pain volé, de la marmelade, du chocolat chaud, mais aussi de la soupe de clams, des sardines à l'huile, des huîtres, des noix au miel, du poulet frit, de l'oie farcie, du pont-l'évêque, des andouilles, sans oublier holothuries, muscat de Frontignan, fromage de Sassenage, brouet clair, rillettes de Tours, bonne soupe, cailles en sarcophage, pièce montée, porto, etc.
«?Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, [.
Ce beau livre est un merveilleux voyage gastronomique dans le temps qui met en lumière la richesse du patrimoine culinaire familial et l'importance de la transmission du goût au fil des générations.
Cet ouvrage, tout à fait en dehors de nos productions habituelles, nous réjouit justement par sa singularité et la délicatesse « littéraire » qu'y a mise l'auteur dans la manière de présenter ses recettes.
michel caffier retrace l'histoire de cette gourmandise lorraine (commercy, liverdun) depuis son invention à commercy - à la cour du roi stanislas, en 1755, par une jeune servante, madeleine paulmier - jusqu'à son destin commercial actuel.
« Quand on évoque certains mets et plus particulièrement les desserts, on constate qu´il y a toujours une énorme part d´affect qui pointe en nous.
La géologie se déguste-t-elle ? Et la minéralité ? La vigne grimpe-t-elle aux arbres ? Les vignobles sont-ils mortels ? Le créateur de la statue de la Liberté a-t-il célébré la viticulture ? Le vin de Saint-Georges remontait-il le Rhône avec Frédéric Mistral ? Le vent fait-il le vin ? Quand buvait-on du Champagne sucré ? Aime-t-on Balzac à Vouvray ? La vigne a-t-elle ruiné Lamartine ? Faut-il un tonneau pour faire une entrecôte Bercy ? Comment est né le classement de 1855 ? Peut-on fabriquer du raisin ? Le premier acte de la Révolution française est-il lié au vin ? Le chenin soigne-t-il les écorchures ? Doit-on Napoléon à la vigne ? Saint-Vincent a-t-il des concurrents ? Le plus célèbre exégète de la Bible était-il vigneron ? Nos ancêtres dégustaient-ils comme nous ? Proust buvait-il trop de porto ? Les paysages font-ils vendre du vin ? Où peut-on voir le torula compniacencis ? Où a-t-on bu du vin pour la première fois en France ? Le vin de Bordeaux est-il un élixir d'amour ? Quelle route emprunter pour revivre l'histoire du vin en Méditerranée ? La vigne et le vin racontent une épopée éternelle et constituent un véritable continent de connaissances.
Découvrez à travers 60 recettes, l'histoire de l'empire Rostang, restaurant parisien doublement étoilé, mais aussi une histoire de famille, de mémoire, d'amitié et de terroir.
Le lecteur est convié à une promenade littéraire dont le thème est la gastronomie dans tous ses états.
« Je suis née de deux familles où bien manger et partager autour d'un plat étaient art de vivre, et cuisiner et pâtisser étaient passions et religions.
À travers les textes fondateurs de la gastronomie française, Jean Vitaux nous offre une plongée riche, gourmande et rigoureuse dans notre imaginaire culinaire.
François Perret, chef pâtissier du Ritz Paris, vous invite à découvrir les temps forts d'une journée gourmande dans les plus hauts lieux du célèbre palace parisien.
D'un intitulé, d'un ingrédient, d'une indiscrétion savoureuse, le chef du Grand Hôtel de Cabourg, Jérôme Lebeau, ne fait qu'une bouchée pour mettre à l'honneur les tentations gourmandes de Marcel Proust.