Tout remonte à un livre reçu du Texas pour Noël, en 2003: Stirring Prose.
Ce texte fut publié en 1779 par l'imprimerie royale.
Depuis la parution, en 1982, de son dernier ouvrage consacré à la genèse des fours à pain, pierre delacrétaz, lauréat du prix du patrimoine culturel, a réuni une telle somme de documentation et connaissances qu'il était impératif qu'il procède à une nouvelle édition de son histoire des fours à pain.
Le grand modèle contient :- Sertis dans un livre-écrin très raffiné, 54 arômes de grande qualité prennent vie dans votre mémoire olfactive et trouvent une vraie résonance dans les grands vins :Notes fruitées : 1 citron, 2 pamplemousse, 3 orange, 4 ananas, 5 banane, 6 litchi, 7 melon, 8 muscat, 9 pomme, 10 poire, 11 coing, 12 fraise, 13 framboise, 14 groseille, 15 cassis, 16 myrtille, 17 mûre, 18 cerise, 19 abricot, 20 pêche, 21 amande (frangipane), 22 pruneau, 23 noix ; notes florales : 24 aubépine, 25 acacia, 26 tilleul, 27 miel, 28 rose, 29 violette ; notes végétales : 30 poivron vert, 31 champignon, 32 truffe, 33 lie de vin, 34 cèdre, 35 pin, 36 réglisse, 37 bourgeon de cassis (ou buis), 38 foin coupé, 39 thym, 40 vanille, 41 cannelle, 42 clou de girofle, 43 poivre, 44 safran ; notes animales : 45 cuir, 46 musc, 47 beurre ; notes grillées : 48 pain grillé, 49 amande grillée, 50 noisette grillée, 51 caramel, 52 café, 53 chocolat noir, 54 note fumée.
C'est la fin du monde tel que nous l'avons connu.
Le secret de ce livre : partir à la découverte de nos saveurs traditionnelles.
Comment trouver un produit plus familier que le pain qui dirait avec plus de vérité ce que sont les Indiens, les Mexicains, les Géorgiens, les Egyptiens, les Péruviens, les Français, les Irakiens et jusqu'aux peuples de l'Asie qui, comme on va le voir, ne l'ont pas ignoré ?Comme le découvre Gustain, jeune reporter taste-pain à travers les pays qui ont enrichi la longue tradition du pain, les peuples ont développé partout sur la terre leurs propres recettes, leur symbolique, leur mythologie, leurs rituels autour de ce produit identitaire par excellence.
Rustiques ou raffinées, craquantes ou moelleuses, légères ou nourrissantes, les tartes salées et sucrées sont les incontournables d'une bonne table conviviale.
Pour tous les amateurs de pâtes !Économiques, nourrissantes et inventives, les pâtes sont la providence des mères de famille, le recours des célibataires et la gloire des cordons bleus.
Retrouvez les saveurs authentiques de votre enfance ! Vols au vent, oiseaux sans tête ou encore pets de nonne ou îles flottantes.
Septembre 2016 : Anne-Louise Sautreuil, 33 ans, se donne un an pour changer de vie.
Si l'on doit à Parmentier d'avoir introduit dans nos contrées la pomme de terre, on sait moins que ses travaux ont beaucoup porté sur les questions d'hygiène en matière d'alimentation.
L'auteur nous fait partager sa passion des raviolis en expliquant pas à pas la confection de la farce, la préparation des pâtes et les différents pliages des raviolis, des baozi (petits pains farcis) et autres rouleaux de printemps.
Depuis la nuit des temps jusqu'à nos jours, le pain d'épice reste une saine gourmandise nimbée de savoir-faire, de tradition, de coutume, de rituel mais surtout, un pur produit aux nobles ingrédients et aux merveilleux pouvoirs de bonne santé ! Si vous n'aimez pas le croquer nature, alors cuisinez-le !.
Véronique Eche cultive 2500 m2 de Crocus sativus, le crocus à safran, en France.
Enfin un livre de cuisine qui s'attaque au mal endémique de notre époque : avant la mal-bouffe, la mal-cuisine, voire la mâle cuisine ! Des recettes simples, très simples même : ma première tartine de pain, la soupe lyophilisée, les nouilles faciles.
Retrouver les saveurs d'autrefois !Jadis dans les Landes le relatif dénuement commandait aux familles de métayers de dépenser le moins possible.
Promenade gustative à travers les traditions culinaires et les recettes d'antan réalisées avec des produits du terroir périgourdin.
Jean-François Piège signe un Manifeste consacré à l'Art de manger.
Cette seconde édition du Petit Lapaque des vins de copains reprend le principe de la première, publiée à la fin de l'été 2006, en accentuant les travers qui lui ont valu quelques blâmes dans un quotidien spécialisé dans l'analyse financière et la spéculation immobilière : elle ne retient aucun château propriété d'un grand patron bucolique, elle laisse de côté les jus produits par les amateurs de saveurs artificielles, elle ne se soucie pas des vins dont les mérites sont habituellement vantés sur de larges pages de publicité.