Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
L’été tout pourri qui nous a inondé cette année a au moins permis une excellente récolte de céleris-raves.
J’ai improvisé cette recette à partir de différentes lectures et à partir de ce que j’avais en stock (il me restait notamment une belle tomate, rescapée d’un plant cultivé sous serre par une de mes collègues).
Encore une recette que j’ai bidouillé à partir d’une version de gelée de tomate au basilic et à la burrata.
Allez hop, c’est le week-end, et même s’il fait tout-moche-tout-triste-tout-maussade, on va mettre du soleil dans les assiettes… enfin des légumes dans les assiettes, pasque bouffer de l’hydrogène et de l’hélium à très haute température, ce doit être.
Faut-il que je sois d’un masochisme extrême, d’une cruauté infinie envers moi-même pour m’acharner à faire des pizzas pile le jour où je pourrais en avoir une très bonne à dix euros au camion ambulant ?? La faute à la mozzarella achetée en promo.
J’avais trouvé cette recette il y a quelques années sur Marmiton (« Gratin de potiron provençal ») : je l’ai un peu aménagée en changeant le potiron par du potimarron et en mettant beaucoup plus de tomates, ainsi qu’un poivron.
Pichade ? Quézaco ? C’est une variante mentonnaise de la pissaladière (sorte de pizza aux oignons et anchois), avec des tomates.
Je garde un souvenir impérissable de la première fois où j’ai mangé des spaghettis aux boulettes.
La littérature culinaire est très rigolote : quand on s’intéresse aux recettes printanières, on y trouve des petits pois, des artichauds, des asperges, des concombres, et même des poivrons, des tomates, des aubergines ou des courgettes.
Je n’étais pas trop sûre de l’accord de goût entre les tomates séchées, les figues et la féta.
Après avoir écouté l’émission « On va déguster* » consacrée à « La leçon du Risotto », je me suis retrouvée fort déconfite… mes risotti sont probablement tous ratés ! Même si j’utilise le bon riz (riz rond italien, bio), que je débute à peu près correctement.
En errant sur le net à propos des croque végétariens, je suis tombée sur une recette associant le chèvre frais et le basilic (voir « Croque-monsieur au fromage de chèvre et au basilic »).
La recette provient du site « AZ cuisine », j’en ai fait deux modifications : j’ai doublé la quantité de féta et j’ai ajouté quelques câpres.
Petite salade rafraîchissante et relativement nourrissante grâce aux lentilles.
Une recette simple qui vient de mon bouquin fétiche du moment « Savoureuses recettes végétariennes ».
Selon Wikipédia, la sauce bolognaise est composée de coulis tomate, carottes, céleri, oignon, vin (blanc ou rouge), lait et bœuf (voir ici une vraie recette, donc avec de la viande…).
Petits rappels pour les non-initiés* : Les végétariens ne mangent pas de chair animale, Les animaux sont des organismes multicellulaires se nourrissant de matière organique.
Cette année, les pommes de terre ont souffert de la sécheresse et Pascal en a récolté pas mal qui avaient la taille d’une noix.