Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
Par ces froides soirées d’hiver de printemps tout pourri, rien de tel qu’une bonne soupe pour se donner du réconfort.
Cet article a failli ne jamais voir le jour (c’eût été une perte énoo oo OOO oo orme pour la Haute Gastronomie Française !).
Je continue d’explorer la cuisine orientale au gré du hasard… J’ai trouvé l’idée de cette recette dans un bloc « Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? En 365 recette végétariennes », édité par Marmiton.
A la base, je voulais faire des bouchées, mais comme l’exercice requiert une certaine minutie, j’ai transformé la recette en verrines (qui ne sont plus à la mode, mais si je devais m’arrêter à ce genre de détail, je n’aurais carrément plus ma place dans.
Dans la série « le potager en décalé » : après les épinards récoltés en deuxième année de croissance (paix à leur âme), après le fenouil au bulbe avorté (RIP petites feuilles plumées), voici comment le pied de blette a rendu son dernier soupir après.
Il y avait un pauv’ brocoli faisant un peu la gueule dans le bac des légumes moches de mon épicerie bio préférée.
Une recette un peu improvisée, avec quelques accents orientaux et rapide à faire.
Petit cours d’anglais express : « To wrap » = envelopper.
Voilà les premiers artichauts du potager ! Ce légume n’a guère convaincu Pascal, qui n’en avait quasiment jamais mangé jusqu’à ce jour.
Une petite salade rafraîchissante qui picote juste ce qu’il faut, rapide à faire et trouvée le magazine « Esprit Veggie » du printemps 2018 (un chouille customisée avec l’oignon nouveau).
Ma Grand-Tante nous faisait de temps en temps des champignons crus en salade : beurk beurk beurk, je n’aimais pas vraiment.
Encore une recette issue du livre « Recettes végétariennes inratables ! », mais bien modifiée, et heureusement parce que la pâte, d’un magnifique vert pétaradant, était déjà tellement collante que j’avais l’impression que mes doigts, transformés en marionnettes,.
Cette recette est inspirée d’un magazine « Hors-série Gourmand, sans viande », mais je l’ai pas mal remaniée dans les proportions et les ingrédients.
J’ai dégotté cette recette sur Marmiton et je l’ai à peine modifiée : comme le conseillait un des commentaires, j’ai ajouté pas mal de menthe (la blinde à vrai dire) et j’ai fondu le beurre avec pour que le goût soit bien piégé.
Une recette un peu bidouillée, facile à faire, bien nourrissante et végétalienne (à condition de ne pas faire comme moi, affreuse amatrice de parmesan que je suis).