Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
Nous sommes submergés de pommes depuis un mois : nos jeunes pommiers commencent timidement à donner, contrairement à nos amis qui nous en donnent à tour de bras.
Pour accompagner une confiture de cerises noires épicée en provenance du Pays Basque, rien de tel qu’un peu de fromage de brebis d’Ossau-Iraty.
Il me restait deux malheureux navets, une variété (laquelle ? mystère…) qui n’a pas un goût très prononcé.
A la maison, il est rarissime que nous ayons du pain rassis, sans doute parce que la plupart du temps, il est fait maison par Pascal, et qu’il est meilleur et se conserve mieux que le pain industriel, du supermarché ou de nombreuses boulangeries (voir.
Cela fait quelques années déjà qu’il n’y a plus d’agneau pascal dans notre famille.
Cette année, j’ai découvert que la menthe ne se ciselait pas seulement dans le concombre ou dans les salades estivales : quelle découverte de pouvoir la cuisiner dans des plats chauds ! Ici, j’ai encore adapté une recette du livre « Recettes végétariennes.
Depuis que j’ai planté le groseiller à maquereau voilà une petite dizaine d’années, je me suis contentée d’en grapiller ses fruits, me mettant parfois en concurrence avec l’une de mes chiennes qui arrivait à délicatement chiper quelques baies.
C’est une recette (qui vient du livre « Les tartes, 60 recettes salées et sucrées) ») qui demande du boulot quand on est une extrémiste du fait maison.
Cette autre version de la tarte tatin aux tomates (voir la première ici) provient du livre « Recettes végétariennes inratables ! ».
La recette de base, trouvée dans le livre « Recettes végétariennes inratables ! », n’était pas aussi riche en beurre que celle que j’ai mitonné.
Je me suis gourée de recette quand j’ai donné ma liste d’achat à Pascal.
Pour une recette de gnocchis (que j’ai foiré : c’était lourdingue, de quoi bien lester l’estomac…) j’avais fait cuire une courge (une hybride du potager) et il m’en restait.