Renards Gourmets – Deux gastronomes en gants de velours
La sauce poivrade est l’une des plus ancienne sauce connue du répertoire gastronomique occidental.
Les falculelle sont typiquement cortenaises mais on en retrouve un peu partout en Balagne et jusqu’en Castagniccia.
Les cavallucci sont originaires de Sienne en Toscane, ils se préparent généralement pendant la période de Noël comme les ricciarelli ou le panforte.
Difficile de connaître l’origine exacte de ce plat, si le nom du duc de Wellington lui est accolé, tout indique pourtant que son origine soit française.
Le salmis est une méthode de cuisson associée au petit gibier à plumes ou à poils.
La succulence sans pareille de la bécassine est appréciée des fins gourmets depuis l’Antiquité.
L’origine des cakes est très ancienne et probablement importée d’Orient.
La cuisine niçoise a une identité unique mais pour autant elle est intimement liée au développement culinaire qui s’est fait tout au long de la Lunigiana.
Le gibassié parfois orthographié gibassier ou appelé pompe à l’huile en fonction de l’endroit où l’on se trouve en Provence figure à la table du Gros Souper de Noël.
En Ombrie et dans les Marches, les Ducs d’Urbino se régalent de petits gibiers à plumes et de lentilles de la vallée de Castelluccio depuis le Moyen-Âge.
Le pesto di lardo est une préparation typiquement nord italienne à base de lard de Colonnata.
Lucien Tendret éminent gastronome du Bugey de la fin du XIXe siècle nous a gratifié d’un ouvrage d’une irrépressible gourmandise « La table au pays de Brillat-Savarin« .
Qu’elles portent le nom d’oreillettes, de merveilles, de bugnes, de frappes ou encore de chiacchiere, ces fritures typiques de la semaine du carnaval ou encore de Noël sont un véritable délice.
On trouve des petits pâtés dans toute la cuisine du Languedoc et de l’Hérault.
Les ravioli alla cernia ou di cernia, di magro ou encore di mare sont une spécialité ligure.
Le cantuccio appelé parfois à tort biscotto di Prato prend le nom de cantucci au pluriel et il va sans dire qu’on en mange jamais qu’un.