La popote du cochon - le blog de susminervam sur Cuisine Land
J'ai déjà mentionné feue notre bonne cousine Jeanne, cousine de ma grand-mère maternelle.
Il y a des plats comme ça qui font comprendre que le temps passe et que, la quarantaine dépassée, on devient un peu plus nostalgique.
Mes voyages dans les Balkans, en Grèce et en Turquie ont toujours été ponctués de ces délicieux moments où je dégustais, non, je l'avoue, où je dévorais les feuilletés de toutes sortes que l'on trouve dans cette partie du bassin méditerranéen.
Un bon pain de viande, le "meatloaf" américain garni d'oeufs durs à consommer chaud ou froid accompagné d'une sauce aux champignons et de pommes de terre au four.
Le "hareng-pommes-à-l'huile" est un plat plus que traditionnel des bonnes et vraies brasseries parisiennes.
Un plat dont j'ai chipé la recette il y a quelques années dans le restaurant d'un ami à Dijon.
La dinde a ceci de particulier qu'elle est une viande qui s'avère saine sur le plan nutrionnel mais qui est relativement peu gouteuse.
J'ai un faible pour les plats du terroir, ceux qui mijotent longtemps et qui font regretter les cuisinières à bois sur lesquelles on laissait la cocotte en fonte noire toute la nuit, au fond, près du tuyau.
Un de mes passages en Turquie m'a une fois de plus confronté à mon aversion pour la viande ovine.
Ah, les quenelles de Maman ! Oui, je sais, vous vous direz celui-là il n'a de cesse de mentionner sa mère.