Renards Gourmets – Deux gastronomes en gants de velours
Nous devons la recette de la poularde Albufera au chef cuisinier français Adolphe Dugléré.
L’origine du Colombier n’est pas aussi ancienne que la légende qui y est accolée.
Heureux sont les habitants des Langhe dans le Piémont où abondent truffes blanches, cèpes, châtaignes ou encore noisettes et petits gibiers.
Les tripes à la romaine est un plat très ancien typique de la cuisine pauvre de l’Italie centrale.
La truffe blanche d’Alba dans le Piémont est un produit exceptionnel, son coût est important mais elle est si parfumée qu’une petite quantité est suffisante.
Nous adorons les cornichons, ils se dégustent avec les terrines, les poissons ou les viandes froides ou encore en sandwich.
Si en France nous connaissons déjà le houmous et le baba ganousch dont tout le monde raffole, le muhammara s’est nettement moins exporté.
L’idée de farcir les volatiles est très ancienne, en effet l’assyriologue Jean Bottéro, traducteur francophone des tablettes mésopotamiennes de l’Université de Yale parle d’un pigeon amursânu farci entre la chair.
Il se dégage une atmosphère particulière dans les jardins de Giverny, celle de la fin d’un printemps au tournant du siècle, crépuscule d’un instant comme suspendu dans le temps.
On parle du houmous depuis le VIIe siècle avant Jésus Christ en Mésopotamie, son origine est très disputée mais une chose est certaine c’est que l’idée de mélanger de la purée de pois chiches et de la pâte de sésame.
Ce plat traditionnel du Cachemire provient de l’influence moghol dans la région.
Les « Gnocconi col sugo d’anatra » est une recette typiquement vénitienne.
Le panforte est l’un des nombreux pains sucrés d’Italie, consommé à Noël et pendant le carnaval il se déguste avec le vin doux local, le Vinsanto.
Le risotto aux châtaignes est une recette typique de la province de Plaisance (Provincia di Piacenza) entre la région de l’Émilie-Romagne et la Plaine du Pô (Lombardie, Piémont, Ligurie).
Quoi de plus exaltant que de partir au matin quand la rosée est encore là, traverser les bois et rentrer, les bras chargés de champignons sauvages, se mettre au chaud près du poêle et se régaler d’avance d’un délicieux.