La popote du cochon - le blog de susminervam sur Cuisine Land
Un plat comme on les aime, bien roboratif et réconfortant pour nous donner l'illusion des hivers que nous n'avons -hélas-, plus.
Une petite douceur du 15e siècle qui nous vient de nos voisins helvètes mais qui est désormais connue par sa présence incontournable sur les marchés de Noël alsaciens au rayon des non moins incontournables bredeles.
On peut, à faible coût, confectionner une délicieuse crème de whisky digne de la très célèbre que l'on trouve dans les commerces.
Après un début d’automne atypique on arrive enfin aux températures normales de saison.
Le temps des agapes hivernales est révolu et à l'heure où l'été fait une entrée précoce, il nous revient des envies de déjeuners légers - ça reste à voir, ça ! - et de choses plus fraiches.
Que j'aime cette cuisine "opportuniste" ; celle des restes et des fonds de placards ! Rien de plus stimulant que de verser dans l'art d'accommoder les restes ou.
Si d'aucun doivent chérir la mémoire de mon père, je pense que tous y attacheront l'image du jardinier.
Quoi que l'on puisse en penser l'lIe de France est un terroir, et en tant que tel, cette région a ses recettes que l'on a plutôt tendance à dédaigner ; en effet, le terroir n'est pas une accumulation d'images d'Epinal avec hommes en sabots et femmes.
Un bon hiver est propice aux recettes "casanières", de ces recettes qui réchauffent tant le corps que le coeur.
On se réchauffe au soleil d'hiver de la Turquie avec des accents du grand mamamouchi de notre bon monsieur Jourdain.
Petit agrume du genre citrus ( Fortunella margarita ), cet arbrisseau à petites épines a été importé et acclimaté en Europe à la moitié du XIXème siècle.
Dans la rue où j'ai grandi, à Dijon, il y avait une voisine qui, bien avant l'heure, faisait office de traiteur.
Un feuilleté à déguster au coeur de l'hiver quand le soleil se cache.
Il est vrai que la pâte feuilletée fait peur ! Toutefois, il n'en est rien.
Les lecteurs assidus ne manqueront pas de constater que j'ai quand même pas mal de "madeleines de Proust".