Nos recettes sont 100 % végétales et conviennent aux végétariens, végétaliens, vegans ainsi qu'à toute autre personne intéréssée par la cuisine végétale et/ou la cuisine française. Bon appétit!
La tourte aux champignons*, une tourte rondouillarde et dorée, aux bords souvent ourlés et à la surface griffée, est familière dans les auberges ou sur les tables familiales au nord de la Loire.
La pâte feuilletée se distingue d?une pâte brisée par sa légèreté (résultant d?un empilement de «feuillets») et son goût de matière grasse.
Née d?un hasard heureux, la tarte Tatin est une tarte aux pommes renversée, au dessus moelleux et caramélisé.
Plat royal, les artichauts farcis sont en fait des c?urs d?artichaut, pris dans leur amplitude maximale (avec les feuilles coupées ras), évidés et emplis d?une farce.
Véritable institution des bouchons lyonnais dont le nom fait frissonner le touriste de passage (non, il ne s?agit pas de la matière grise de l?un de ces malheureux ouvriers de la soie!), la cervelle de canut, ou claqueret, n?est pas à proprement parler.
Le fromage frais végétal s?obtient très bien à partir de yaourt de soja.
Le gâteau de semoule est un entremets à base de semoule bouillie dans un lait végétal sucré, souvent agrémenté d?arômes (vanille, fleur d?oranger) ou d?épices (cannelle), de fruits secs (raisins) ou de fruits confits, voire, de confiture.
Comptant parmi les mets emblématiques de la ville dont elle se réclame, la bourride sétoise met en scène une sauce délicieuse, un aïoli-mayonnaise, enrobant des pommes de terre bouillies et un simili-poisson (lequel peut être remplacé par du «steak».
La lotte/seitan* est l?interprétation «iodée» de notre seitan foncé.
Evocatrice de la Provence, du soleil, des grillons et de l?accent chantant? l?aïoli est une sauce faite d?huile d?olive et d?ail pilé.
Cuisinées à la sauce tomate, les quenelle lyonnaises demeurent un classique des bouchons, bistrots et brasseries de la capitale mondiale de la gastronomie.
Le quatre-quarts est cette barre pâtissière à la couleur dorée connue aux quatre coins de l?Hexagone du fait de sa diffusion industrielle.
La grillée (grâlée, graillée ou encore rôtie) de mogettes appartient au patrimoine culinaire vendéen: il s?agit d?un en-cas (bien singulier, aux yeux du touriste de passage) composé de tartines de pain grillé frottées avec une gousse d?ail, huilées et,.
Comme son nom l?indique, la chouée est une platée de choux (à mi-chemin de la potée et de la soupe au chou), assez représentative de cette cuisine poitevine (la Vendée étant l?ancien Bas-Poitou), modeste, robuste et goûteuse! Une fois blanchi à l?eau.
Le matefaim aux pommes prend, en région lyonnaise et ses alentours, l?aspect d?une crêpe très épaisse.
Le gâteau aux noix du Périgord, reconnaissable à sa couleur marron plus ou moins claire et à ses cerneaux de noix décoratifs, fait frissonner le palais des gourmands.
La mayonnaise végétale, plus légère, plus saine et aussi onctueuse que la «classique», surprendra ceux qui ne la connaissent pas.
Dans sa version végétalienne, le pot-au-feu a le choix entre divers simili carne mis à mijoter dans un bouillon avec des légumes et des herbes.
Typique de la cuisine lyonnaise, la pomme paillasson est une petite galette de pomme de terre râpée, doucement rôtie à la poêle.
«Caviar provençal», la tapenade est une purée condimentaire, noire et lisse, fort appréciée dans la cuisine provençale, comtadine et niçoise, à base d?olives pilées avec des câpres, de l?huile d?olive.