Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
J’ai improvisé cette recette à partir de différentes lectures et à partir de ce que j’avais en stock (il me restait notamment une belle tomate, rescapée d’un plant cultivé sous serre par une de mes collègues).
Les taralli sont des biscuits (deux fois cuits selon l’étymologie) salés italiens.
Pichade ? Quézaco ? C’est une variante mentonnaise de la pissaladière (sorte de pizza aux oignons et anchois), avec des tomates.
Quel choc des cultures que cette recette issue du bouquin « Végétarien, recettes gourmandes testées à la maison ».
Que faire avec les feuilles de brick qu’on m’a refilé ? Et sans faire de courses supplémentaires ? Je me suis alors souvenue d’un bon petit plat mangé à Lyon : des samoussas.
On continue les variations sur la courge butternut, mariée ici (pour le meilleur ? Pour le pire ?) avec un risotto bien fondant et un petit saupoudrage de curry.
Cette recette ne mérite sûrement pas le nom de « potée » puisque les légumes sont cuits, assez rapidement, dans une cocotte.
Je sais, j’ai déjà fait le coup de la courge associée au curry (voir « Risotto à la courge butternut et au curry »), et les variations entre ces deux là sont infinies.
Qu’il est joli ce potiron Bleu de Hongrie, avec sa couleur oscillant entre le gris et le bleu, à l’image du ciel de ce matin de Pâques (« Clair comme un matin de Pâques » disait ma Grand-Tante… Tu paaaaarles !!).
J’avais déjà vu par ci par là des recettes de frittatas… bof, une espèce d’omelette améliorée, pas de quoi saliver avec ce plat italien.
J’ai trouvé cette recette sur le site « Menu végétarien », et je n’ai pas changé grand-chose (par exemple, du curry parce que je n’ai pas de feuilles de curry, même si le goût est apparemment très différent) .
Je sais, je sais, dans la description du blog, il est écrit « recettes faciles avec des produits de saison »… Et ce plat fleure bon l’automne.
Une grande partie de la recette vient du site « Mes inspirations culinaires ».
Quelle joie enfantine de déclamer « penne alla puttanesca » avec un accent italien tout pourri et avec le plaisir coupable de dire une espèce de gros mot sans que les parents puissent nous engueuler.
Deuxième tentative pour la frittata (voir « Frittata aux pommes de terre et épinard ») : encore mieux que la dernière fois, on apprend de ses erreurs.
Ma Grand-Tante en faisait quand j’étais petite, avec de tous petits champignons en boîte : j’adorais ! En faisant cette recette avec de vrais champignons de Paris (bio, en plus), j’ai eu peur de ne pas retrouver mon petit plaisir d’enfance, de ne pas.
La vraie pissaladière est une compotée d’oignons sur une pâte à pain, « mais la vraie pissaladière ne saurait être faite sans p issalat , sorte de pâte ou de crème salée, faite à partir d'alevins d'anchois et de poutine , macérés dans du sel plusieurs.
En Italie du Nord, à Valtoumenche, je me souviens d’avoir mangé une excellente polenta au fromage.
J’avais noté une recette de pâtes au potiron et aux lardons il y a quelques années.